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BOYCOTT PLASTIQUE !

Raison N°8:
Le plastique est facilement remplaçable !

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EN BREF

S’il n’y avait pas de solutions pratiques, les eaux en bouteille seraient (pour certaines marques faiblement minéralisées) évidemment préférables à l’eau chlorée et polluées du robinet qui, dans son désastreux état brut, n’a rien d’écologique. Mais il est heureusement possible, à partir de l’eau du robinet, d’obtenir un bon résultat physico-chimique (les polluants) via un filtre (du charbon actif à l’osmose inverse), puis un excellent résultat énergétique (supérieur à la grande majorité des eaux embouteillées) via une dynamisation de qualité. Alors nous retrouvons une eau douce et agréable à boire, véritablement biocompatible, économies substantielles et sauvegarde de la planète en prime !

Raison N°8 en détails

Les bouteilles plastiques sont facilement remplaçables

Les embouteilleurs ont un peu de mal à le faire mais le consomm’ACTEUR – qui vote via son pouvoir d’achat – a heureusement toujours le dernier mot. Mais avons-nous l’embarras du choix ? Quelles sont donc les alternatives aux bouteilles plastiques ?

La bouteille en verre, neutre, minérale, a toujours été la meilleure approche pour respecter la qualité énergétique et la sécurité de l’eau. Côté écologie, le verre jouit en outre d’une excellente réputation, mais le diable se cache dans les détails… Faire venir le verre jusqu’à l’usine d’embouteillage requiert déjà de beaux volumes de camions, sans commune mesure avec les petites éprouvettes en plastique moulées sur place pour former les bouteilles en PET. Le verre est recyclable indéfiniment à 100 % et 70 % du verre est recyclé (contre 20 % pour le plastique), mais fondre 1 kg de verre nécessite beaucoup plus d’énergie que le plastique, la fabrication du verre à partir de sable (silice) requérant elle-même une température de 1 500 °C. Selon Gérard Pajean, membre du comité scientifique et technique de la revue Verre, produire 1 000 kg de verre industriel requiert 256 kg de matière première de synthèse et 1 200 kWh pour un dégagement de 510 kg de CO2

Alors, écologique, le verre ? Pas vraiment s’il est à usage unique comme la plupart des bouteilles. Nettement plus si la bouteille est réutilisée sans passer par la case « casse ». À quand le retour de la consigne qui rendait le verre réutilisable moins coûteux que le plastique ? La marque Lauretana applique ce principe dans les magasins bio dépositaires mais elle est rare et tout ce qui est rare est cher…

Le remplissage de bouteilles en verre dans ces mêmes magasins bio serait déjà beaucoup plus intelligent et, en France, de plus en plus de magasins bio en effet s’équipent de filtres pour proposer de l’eau en vrac.

Chez H2Origine, la technologie mise en oeuvre est l’osmose inverse avec dynamisation dans le réservoir. La purification et les critères de la BEV sont privilégiés. On achète une bouteille en verre ou en plastique (en attendant le plastique biodégradable) pour une somme modique (quelques euros) et on remplit la bouteille pour une autre somme modique. Une eau pétillante est également proposée… pour le fun et le plaisir. « Le résultat de cette innovation est une eau très douce et légère au goût incomparable » et si l’on a assez de trimballer ses bouteilles, eh bien l’on investit dans un osmoseur !

Chez Retour à la source, la technologie est celle du nec plus ultra du livre La qualité de l’eau : un excellent filtre à charbon actif associé au meilleur biodynamiseur. L’aspect énergétique « subtil » est ici privilégié avec une énergie équivalente à une eau de source de montagne. On achète une bouteille en verre (à moins qu'elle ne soit offerte) et on la remplit ensuite gratuitement et autant de fois qu’on le souhaite à la source ! Et si l’on en a assez de trimballer ses bouteilles, eh bien on installe facilement la technologie chez soi, sur son arrivée d’eau principale !

Aussi logiques soient-elles, ces approches ne plaisent déjà pas à tout le monde : « L’eau “en vrac” n’est ni écologique ni bonne pour la santé », assène ainsi un hors-série de 60 millions de consommateurs (n° 126S, août-septembre 2018). La journaliste reproche à H2Origine de rejeter de l’eau dans la nature (comme tout système d’osmose inverse), d’éliminer la majeure partie des sels mi
néraux (encore heureux pour de l’osmose !), de ne pas encore avoir officiellement validé la technique de dynamisation par la science (alors qu’une étude a été réalisée par rien de moins que l’Inserm !) et, aussi, d’être beaucoup plus chère que l’eau du robinet (pourtant nettement moins coûteuse que l’eau en bouteille)… Bref, beaucoup d’inepties et une méconnaissance globale – comme tout bon journaliste tributaire du système – de la qualité de l’eau !

Que pourront-ils dire à propos de Retour à la source ? Pas de rejet d’eau, pas de perte en minéraux (au contraire rendus plus disponibles) et une eau gratuite… Aucune inquiétude : ils trouveront forcément quelque chose afin de préserver les intérêts industriels et commerciaux des embouteilleurs…

Avez-vous noté comme les filtres à eau étaient systématiquement critiqués dans les médias ? Officiellement, l’eau du robinet est toujours d’excellente qualité et, au nom de l’écologie et du politiquement correct, il est donc absurde de recommander un filtre. Les tests du magazine Que choisir en mai 2010 ont ainsi jeté la carafe directement dans la mare : « En fin de compte, les résultats sont désastreux pour l’eau filtrée. »

Mais pourquoi ces résultats étaient-ils désastreux ? Eh bien parce que les carafes étaient mal utilisées et laissées à température ambiante, ce qui entraînait évidemment une prolifération microbienne. Avec des filtres correctement utilisés (carafe vide stockée en frigidaire et filtres changés régulièrement), la qualité de l’eau chlorée est sensiblement améliorée. Certes, les caractéristiques techniques limitées et l’absence de dynamisation ne permettent pas vraiment à ces filtres de positiver, mais le coût réduit et les économies de plastique générées méritent mieux que les attaques du politiquement correct, finalement assez suspectes puisque, in fine, à l’avantage des embouteilleurs, très bons clients-annonceurs des médias…

A qui profite en effet le crime de faire croire que les filtres sont inutiles sinon dangereux ? Si on ne peut plus filtrer en confiance, que reste-t-il à part les bouteilles ? Prendre l’exemple des carafes filtrantes est en soi ridicule puisqu’il s’agit là des filtres les plus bas de gamme. En montant en gamme et en coût, jusqu’à l’osmose inverse avec dynamisation dans le réservoir, les risques de prolifération microbienne sont quasi-inexistants et l’impact sur la santé évidemment moindre que le chlore au robinet ou les eaux trop minéralisées ! Côté Biodynamizer sur l’arrivée d’eau principale, on réussit même l’exploit de retrouver les sensations d’une eau de source à la source, une eau au naturel, très agréable à boire.

Bref, en dépit de la désinformation malsaine, il appartient au consomm’ACTEUR de ne pas se laisser faire et de prendre le bon réflexe de la liberté de l’eau. Celle-ci passera donc par un filtre de qualité et par une dynamisation appropriée. Il y a tout autant de choix d’appareils que de marque d’eau minérale (et malheureusement pas mal aussi de risques d’arnaques) mais recul et réflexions permettent généralement de trouver le dispositif approprié à sa configuration et à son budget, sans plastique et sans risque ! Alors, avec une eau véritablement biocompatible, l’hydratation est enfin optimisée, la vitalité assurée et la planète presque sauvée…

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Encore un tour pour se convaincre de boycotter ?
Raison N°1 : Les bouteilles plastiques, ça pollue !

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Wata

Goutte d'eau militante
+41 (0)76 532 8838

wata@boycottplastique.com

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